Diniz Galhos - "Gokan"

Paris. Jean-Luc Ponty, maître de conférences à la Sorbonne, se rend à Tokyo pour y donner des cours de littérature française. En salle d'embarquement, il est abordé par un étrange personnage. Ce dernier lui raconte une curieuse histoire et lui propose un marché : retrouver dans un bar tokyoïte une bouteille de saké appartenant à Quentin Tarantino afin de satisfaire la lubie d'un de ses riches clients collectionneurs. S'il lui rapporte la bouteille, il recevra en échange une forte somme d'argent.

Tokyo. Nina, jeune femme atypique élevée par son père, Michael Wakasa, travaille dans un garage. Elle se retrouve dans une situation dangereuse lorsqu’elle découvre une valise diplomatique pleine de billets dans l'une des voitures dont elle a la charge. Son chemin va croiser celui de Ron Reno, une brute américaine, de retour au Japon pour y achever une sale besogne commencée des années auparavant et qui ne craint pas de s’attaquer aux pontes de la mafia japonaise, les yakusas.

Gokan est le premier roman de Diniz Galhos. Ce nom vous parle peut-être et c'est tout à fait normal. Il n'est autre que le traducteur Français (entre autres) de la série du "livre sans nom" aux éditions Sonatine. 

Je dois avouer que le pitch du livre et le côté "sexe drog et rock'n'roll", façon grand n'importe quoi ne m'ont pas embalé plus que ça. Un gout de déjà vu... Mais bon, je me suis lancé tout de même. A regrets ! Je ne vais pas m'étaler sur le sujet, je ne vais pas parler de ce livre sur 10 lignes. En effet la lecture de ce livre ne m'a procuré absolument aucun plaisir. Ce n'est pas drôle. Les personnages son caricaturaux. L'action...bah on la cherche un peu. Les références ciné et musique... mouais. Les chapitres nous montrent des personnages différents à chaque fois, on se demande quels liens il y a entre eux. On se demande presque si c'est un même livre. Le tout est mal foutu et résultat, ça tombe à plat et l'intêret (déjà pas grand) retombe lui aussi. La fin dans le bar. Cette fusillade... voui voui voui, elle me rappel un truc... mais j'ai oublié quoi. (ou pas)

En gros, n'est pas "Anonyme" qui veut... ;)

Bref, j'ai passé un mauvais moment avec ce livre, mais je tenais tout de même à vous en parler. Certains diront que ce n'est pas mon rôle de dire du mal des livres, mais des fois, ça fait du bien!